Rythmes , sport, danse et architecture

Les jeux Olympiques  représentent une solidarité entre les nations autour de l’homme en mouvement,  sa soif de connaissances et de progrès.

 L’architecture du site de Londres évoque la place de l’homme moderne, ouvert à la science, la communication et la découverte de l’espace.

Nos premières études complétées par des jeunes de 14 à 18 ans, dans le cadre de la création de posters pour les jeux Olympiques, avec The  Eastbury Comprehensive School de Londres,  en partenariat avec National Achieve Ability and the Arts Dyslexia Trust , établissent un lien entre l’étude du mouvement , la perception de l’architecture environnante comme un miroir de l’homme, de son histoire, de son évolution, de sa place dans l’univers.

 Le sport, l’action  incarnent la volonté de créer,  de progresser, de contrôler nos destinées, de définir des repères  dans l’inconnu.

Tandis que l’on se projette dans l’espace,  de tout son être, afin de communiquer, de saisir un repère dans l’inconnu avec pour seule ancre, la volonté d’avancer, de progresser, dans la matrice du cœur des hommes naissent  tous les rythmes intenses, les architectures de notre réalité.

Béatrice Cofield 

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Les enfants de Bouzy La forêt se sont inspirées de leur équipe  de football pour enfants et se sont imaginés courir et jouer à Londres. Inspirés par l’architecture du site de Londres, ils ont joué avec les formes et ont peint avec énergie leur vision de l’aventure du progrès, de l’action.

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 Enfants  de 9 à 10 ans

 

 Ecole publique primaire de St Benoît

Des dessins qui volent, qui courent, qui sautent, qui nagent, qui flottent dans l’espace.

Une oeuvre interactive entre Madame Béatrice Cofield, Madame Cyprienne Dubard et sa classe, des enfants âgés de 10 ans, un dialogue par essence.

Nos références visuelles intitiales , afin de permettre cette illustration de la description du mouvement en tant qu'énergie :

 

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1-      Alana Jenkin’s:  l’arbre de vie

2-      Courir pour s’envoler : interprétation de la musique de Walter Fabeck, Genome par Béatrice Cofield

3-      Vagues intérieures,Portrait de Caroline Florenville interprétant la mer de Debussy par Béatrice Cofield

4-      Danse dans l’inconnu par Béatrice Cofield

5-      L’homme, la science et l’inconnu par Béatrice Cofield

6-      Envol dans l’espace, portrait de Patrick Jablonski, mentalist par Béatrice Cofield

7-      Envol dans l’espace, peinture et collage par les enfants de l’école Primaire de St Benoît, Cyprienne Dubard, maîtresse des écoles et Béatrice  Cofield

8-      Identité : collage  et peinture par les enfants de l’école Primaire de St Benoît, Madame Cyprienne Dubard, maîtresse des écoles, sur un fonds peint par Béatrice Cofield.

  Béatrice Cofield génome musique de Walter Fabeck

Alana Jenkins

 Ces dessins projettent l’énergie, l’émotion, le ressenti créé par le mouvement, le sentiment de se jeter dans l’espace pour avancer, créer de nouveaux repères, pour progresser.

 Les œuvres interactives créées par Madame Cofield, Madame Dubard et les enfants de St Benoît symbolisent un partage,  où l’architecture est  perçue comme le miroir de notre identité.

 En inspirant, les enfants se concentrent sur ce ressenti, ce contact au creux de l’estomac.

En expirant,  Ils projettent le plus possible d’énergie.

 Développer la perception à travers ce toucher, un contact plus profond  avec son ressenti est vital. Diverses stratégies favorisant ce développement de la perception comme un toucher de la forme, sont alternées. L’utilisation de la caméra Lucida ,(une stratégie introduite par Monsieur Kalouguine) ermet à tous groupes d’âge des tracés précis de l’architecture environnante.

 Ils développent leurs dessins sur un fonds architectural des Jeux Olympiques.

 Un stylo bille permet d’exprimer le rythme des formes avec le plus d’intensité possible.

La couleur est ensuite utilisée pour mettre en relief ce rythme des formes.

  L’œuvre de Munch,et de John Lambie ont en commun l’intensité vibratoire de lignes colorées.et juxtaposées. Spontanément, les enfants expriment l’énergie avec les mêmes couleurs et ce rythme puissant des lignes.

 Il est particulièrement fascinant que ces dessins projettent  des intersections, qui évoquent la sculpture de Anish Kapur .Ansi que Jonathan Jones le souligne dans un article dans le Guardian, il y a dans cette structure imparfaite, chacun de nous face à l’inconnu.

 

 Premiers mouvements et esquisses.

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   Mise en relief du mouvement en pressant avec le poing, un contact direct avec le dessin puis avec le crayon.

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